L ‘attaque terroriste du Hamas, qui ne représente pas la Palestine, a fait injustement de nombreux morts, et a sans surprise provoquée une vengeance et une réaction militaire disproportionnée de la part de Tsaal qui represente Israël. La difference est notoire. Celle-ci restera sûrement impunie. Des réactions se sont faites entendre de part le monde et en France. On peut en tirer 3 analyses.
Une traque politique et médiatique :
Je note qu’encore une fois, malgré la supposée liberté d’expression que revendique l’hexagone, on impose au peuple français une seule position : défendre Israël, interdiction absolue d’avoir de l’empathie pour le peuple palestinien, pas de « Mais ». A chaque fois la même situation, lors d’un drame en France ou au proche Orient , la liberté d’expression est suspendue. Pourtant les mots sont nécessaires, sinon la violence et la colère ne seront que la seule réponse. C est d’ ailleurs se qui se passe en France. Oui, malgré cette interdiction de la parole, j’ai besoin de mettre des mots sur ce que je ressent.
L’Etat français tient un discours ambigu, contradictoire et irresponsable : manifestation interdite pour le peuple palestinien afin ne pas prendre position et de ne pas importer le conflit di- il , cela se comprend et se justifie. Alors pourquoi les mêmes autorités ne se gênent pas pour exprimer leurs soutiens sans faille à Israël. Comment être pris au sérieux ? Comment aimer la France ou faire aimer l ‘hexagone à travers le monde ? Lors d ‘un conflit, il n’y a rien de plus stupide pour un Etat neutre que de prend partie.
Il faut donc dénoncer cette stupide » traque » aux soutiens qui sévie, qu’elle soit de part et d’autre et qui ne sert aucune cause.
Seconde analyse, quelle position avoir ?
Depuis quelques jours, nous avons tous entendu où presque : soutien à Israël, soutien à la Palestine, soutien à la paix..
Toutes ces positions sont respectables et se valent mais , je dit bien mais , car ce mot est interdit paraît il, ne réglerons pas le conflit. Oui ce « mais » interdit permet sûrement de pousser un peu la réflexion, ce conflit ne s’arrêtera qu’ en réglant les causes profondes : les colonies illégales selon l’ ONU et l’absence d’un état palestinien. C’est les seules solutions pour apporter la sécurité à Israël.
Alors, on aura beau répéter comme on veut nous l’imposer de part et d’autre, je soutien, ou je condamne, cela ne réglera rien. Cela ne servira strictement à rien. Il n’y a que deux solutions : la politique ou l’exil.
Troisième analyse : le favoritisme culturelle.
Ukraine, haut Karabach , Palestine. La mobilisation pour ces trois conflits n’est pas la même, sûrement à cause d’une préférence culturelle, on peut le constater. Si ce favoritisme ne venait que du peuple, cela serait une chose, mais le problème c’est qu’ il est assumé par tous les Etats. Qu’il soit européen ou musulman. Oui je pense que la Palestine aurait plus de défenseurs si les Etats arabes dénonçaient se qui se passe en Arménie si proche ou bien en Ukraine. Si l’Europe également manifestait un peu plus de compassion pour les civils palestiniens, elle aurait sûrement moins d’attaques terroristes.
Cela s’ appelle, la réciprocité, un mot plein se sens et que je « soutiens ». Voilà peut-être une condition pour que cette « paix » ne s’instaure’ :
Se soucier de l’intérêt de l’autre et que l’autre se soucie de mon intérêt.